À l’intérieur de Blue, c’est la danse, le dessin, les lignes bleues sur mon corps comme si la peau pouvait muter avec ce que j’essayer d’inscrire dans le zinc. Le mouvement au milieu, le bleu encore et toujours qui revient comme un motif se perdre à l’intérieur de l’image. La piscine à laquelle on a cloturé une liberté mais qui retrouve son identité sauvage. Does blue feel évoque, la ligne elle-même. Peut-elle ressentir, peut-elle savoir quelle est vivante ? Est-elle au courant que sans doute sans elle rien n’émerge ? Pour toutes ces interrogations je la mouvoie, je la danse. Elle ne s’est pas séparée de la matrice en zinc pour rester immobile. Elle arpente autour des filaments vert du plafond, ses gestes rencontrent ces vagues comme des promesses. La piscine elle-même de nouveau vivante s’empoigne à sortir de l’eau.